Boîtes à livres
Couvin-Viroinval
Nos derniers délires-actions sont en bas de page
un cadavre exquis
le principe : quelqu'un écrit un début de phrase sur une feuille de papier et la passe à son voisin. Le voisin écrit une suite et plie la feuille de manière à ne laisser apparaître que ce qu'il a écrit lui-même. Il fait ensuite passer la feuille au suivant qui fait de même jusqu'à ce que la feuille de papier revienne à son point de départ. le premier à avoir écrit révèle le résultat, c'est ce que nous partageons avec toi ici, cher visiteur virtuel.
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Le livre c'est
Le livre c'est
...Un voyage intérieur qui commence à la première page et ...
... qui permet de rêver au retour du soleil ...
...Les vacances s'annonçaient donc bien ...
Vive les vacances ...
Vive les vacances ...
Les souris dansent ...
Mickael JACKSON...
....CHANSON...
sans paroles ...
... C'était donc les mots d'un début d'histoire ....
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... leçon de vie ...
Danse sous la pluie
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...C'était le titre du nouveau ...
...Livre de ...
... comme dirait ma grand-mère ...
quand c'est dans la boîte,...
....Et oui, c'est le facteur...
... pas dans la poche mais dans la boîte aux lettres ...
...qui sonne toujours deux fois comme d'habitude...
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...en famille ...
Il n'y a que du soleil
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...à la plage des devoirs...
...de vacances...
...entre amis...
.... on mange un morceau de saucisson ...
... Du à l'ail, bien sûr ! ...
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J'aime les livres ...
... de belles histoires ...
...des contes qui font rêver...
... je ferme le livre et ferme les yeux ...
.... fin de partie ...
...les dés sont pipés ...
... Et Tom à joué du pipeau
... tout l'après-midi en chantant ...
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Le soleil brille
... Profitons-en !
...Tout le monde est en action...
...et toute action entraine une réaction ...
... Une action peut profiter à tout le monde ...
Cadavre Exquis du 16 octobre 2016.
Réalisé par les visiteurs du parc naturel
Des moments de réflexion, de détente, etc...
La musique nous donne de précieux moments ...
....CHANSON...
Du calme de la sérénité et du rêve ...
À l’ombre du soleil ...
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L’histoire est belle ...
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La fée clochette, chouette et qui exauce vos vœux ...
Couché au bord de l’étang, à l’ombre d’un platane ...
Je lis un roman ...
Un conte de fée ...
L’amour donne la joie de vivre et est bon pour le bien être ...
Il se trouve au coin du feu, au cœur d’une conversation entre amis, dans le partage d’une belle musique, des rencontres à l’improviste, à chaque coin du tournant de la vie et il faut le saisir ...
J’aime lire et je donne volontiers mes livres ...
Ne jamais laisser les autres de côté, c’est important ...
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Nous aimons découvrir la nature ...
Je suis comme toi, tu es comme moi ...
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Et nous fûmes émerveillés… Quelle douceur, quelle beauté…
Le parc rayonnait, la bière coulait, les yeux étaient émerveillés devant…
Boite à livres, une idée géniale, le rêve, lire et une pomme reinette… la madeleine de Proust ...
Pourquoi ne pas imaginer un tout petit instant que l’on vit à travers nos rêves… ?
15/12/16 Atelier d’écriture – Exposition « Droit dans les yeux » Amnesty international à Walcourt
Texte final de l’atelier d’écriture orienté sur une photo de l’exposition :
« Je ne sais pas ce qui se passe…Pourquoi me regardes-tu ?
Qui es-tu toi qui me fixe de ton objectif ?
De quel droit transgresses-tu ma solitude, compagne fidèle de mes jours,
en m’enfermant dans ta boîte.
Oui, je suis un vagabond mais la vie m’habite encore,
Des départs, des ailleurs sont toujours possibles…
J’ai connu tant de galères que mon corps en porte les stigmates
Mais aussi tant de relevailles,
Il n’est pas si loin le temps où je faisais danser les filles dans les carrousels
endiablés des bals populaires.
La nostalgie n’est pas que tristesse,
les barreaux de ma prison peuvent tomber…
Et si tu m’aides à les scier, je pourrai à nouveau voler
et filer comme le pigeon, étincelant et libre dans le matin frais
à l’heure où le convoyeur libère les captifs. »
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Marie-Paul
Je ne sais pas ce que se passe.
> J'ai erré de ville en ville, de pays en pays et de pays en pays et maintenant je me repose et je ne sais pas ce qu'il se passe. Ma tête se jette vers l'avant, mes pieds et mon corps suivent laissant mon passé dans l'oublie.
> Mais que faire quand on ressent l'envie du changement et qu'on est projeté vers un changement qu'on n'a pas choisi, qu'on ne connaît pas.. Est-ce qu'une vie autre que celle qu'on a oubliée ou est-ce que je retrouverai ma vie ancienne que j'ai fui, mais qui peut me rattraper ne fut-ce qu'avec une vieille rengaine, un charleston, un fox trotte, un vieux air de musique qui me rappelle mon passé.
> Soit je me jette dans l'inconnu, c'est comme prendre le train vers des contrées inconnues pleines de bonheur, de gaieté et de légèreté, c'est aller vers le pays de cocagne.
Jean- Pierre 15 déc 2016
Je ne sais pas ce qui se passe mais je suis seul, et invisible.
Ma question est « comment vais-je me rendre visible ? » ;
Peut-être en jouant de la musique ou en chantant ou encore en dansant.
Je dois faire mon cirque pour rompre la tristesse.
Mon combat est la vie !
Alors pour ne plus être seul sur ce chemin de souffrance parce que j’ai raté le train de la culture…
Je rattrape le wagon des rêves,
Je chante, je danse, je fais mon cirque.
Et me voilà papillon, j’ai cassé ma chrysalide!
Je joue dans une troupe de cirque,
la bohème et le voyage,
cela me convient !
Je suis ! J’existe !
Mon avenir commence aujourd’hui !
François Axelle
Je suis seul sur ce chemin de souffrance
parce que j’ai raté le train…
Dans mon tourment, je suis un vagabond de l’invisible…
Le silence est mon compagnon…
Pourquoi ? Suis-je un criminel ?
François Axelle
Je ne sais pas ce qui se passe,
Ici ou ailleurs, pourquoi tant de différence
Vers quel chemin glisse ma vie, de quoi demain sera-t-il fait….
Vais-je errer ainsi à traverser les semaines,
perdu dans le brouillard avec comme seul refuge mes souvenirs,
toutes ces bulles de temps qui remontent à la surface.
Ou suis-je à un carrefour,
une porte de secours s'ouvre-t-elle enfin pour moi
Oser espérer, s'accrocher au fil de la vie
retrouver le soleil, l'aventure,
Demain, un autre jour !
Vincianne Gouttebarge
Le 10 mars 2017, nous avons arpenté le livre :
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Pour Stéphane Hessel, le « motif de base de la Résistance, c’était l’indignation. » Certes, les raisons de s’indigner dans le monde complexe d’aujourd’hui peuvent paraître moins nettes qu’au temps du nazisme. Mais « cherchez et vous trouverez » : l’écart grandissant entre les très riches et les très pauvres, l’état de la planète, le traitement fait aux sans-papiers, aux immigrés, aux Roms, la course au « toujours plus », à la compétition, la dictature des marchés financiers (…). Sylvie Crossman
Nos échanges ont été suivis d’un atelier d’écriture dont voici quelques traces :
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I : isolé, intérêt, importance ou pas, inactif, insécurité
N : non-violence, nazisme, nausée, nourrir
D : digne, différence, docilité, droit, défense, dominé
I : immigré, incompréhension, idée, inévitable, irréprochable
G : général, gagner ou pas, Gaza, guide, gaieté, guerre
N : national, nature, nombre, New-York, noir
E : empreinte, engagement, emporté, économique, espérance, liberté
Z : zapper
J’ai peur pour l’avenir de nos enfants, pour ce qui pourrait nous arriver. Jeanine
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J’aime m’engager, m’indigner mais aussi passer à l’action mais avant tout cela je pense… Axelle
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J’aimerais que les guerres s’arrêtent et que les yeux des enfants, dans certains pays, deviennent rieurs et non lire la peur. Eliane
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J’ai envie de résister à la peur et la combattre par l’amitié. Eliane
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L’homme détruit le poumon du monde, déforestation, l’habitat de l’homme et de la bête sont anéantis… J’ai peur des conséquences sur la santé qui anéantissent l’humain. Eliane
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Je m’indigne parce que les droits de l’homme ne sont pas respectés même dans notre propre pays puisque nous ne sommes pas égaux même en travaillant parfois dur, on culpabilise le citoyen qui doit toujours faire des efforts pendant que d’autres spéculent les denrées alimentaires et d’autres … Les personnes ne trouvent pas de travail et subissent d’énormes pressions et ne peuvent utiliser leurs compétences. Axelle
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Cette vie chanceuse, il faut l’engager dans l’intérêt de chacun. Dans l’idée de liberté, d’engagement, d’espérance pour l’emporter sur l’indifférence. Pour garder notre dignité humaine. Axelle
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Cette vie chanceuse, il faut l’engager. Pas de place pour la tristesse, l’important est d’optimiser les différences afin de faire gagner la vie ! Chantal
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Cette vie chanceuse, il faut l’engager pour que le monde change et que la paix revienne dans les pays en guerre. Eliane
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Le 24 mars 2017, nous avons lu pour vous :
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Une Série d’articles relatifs aux "dettes illégitimes en Belgique" du Comité pour l’abolition des dettes illégitimes (CADTM) :
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Les sauvetages bancaires (1/5)
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L'injustice fiscale et l'affaire Luxleaks (2/5)
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La politique de financement (3/5)
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L'utilité de l'audit citoyen (4/5)
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Qui doit payer ? (5/5)
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Et un article critique « Dette publique – Faut-il cesser de payer ? » Réginald SAVAGE.
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Vous trouverez une copie de ces textes dans la farde à la bibliothèque de Couvin. Ils sont également disponibles sur le net.
Quelques points relevés :
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Il y a eu un sauvetage des banques lors de la crise. Ce sont les petits qui payent.
C’est une finance casino, ils spéculent. C’est amoral, ces gens recommencent.
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Que fallait-il faire ? Peut-être sauver les banques, puis punir les responsables. Rien n’a été fait.
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Séparer les banques de dépôt (d’épargne) et d’investissement (de spéculation).
Il existe un projet de banque éthique New B. Il existe Triodos.
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Il y a une injustice fiscale. Les salaires sont taxés, pas les dividendes des actionnaires. Les grosses entreprises paient peu, voire pas d’impôt.
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On a emprunté au marché financier privé car les Etats ne peuvent pas emprunter à la Banque centrale européenne, aux banques centrales nationales.
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La dette est illégitime à cause des cadeaux fiscaux aux riches et grosses entreprises, des taux d’intérêt payés aux marchés privés, de la socialisation des dettes des banques privées. On pourrait faire d’autres projets avec tout cet argent.
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Le CADTM veut forcer le débat, sensibiliser la population, diffuser des données.
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Il n’est pas toujours simple de comprendre les chiffres.
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+ de 400 milliards d’euros de dette belge, cela surprend. Remarque : Un Etat ne se gère pas comme un ménage, il est normal qu’il soit endetté. Sa dette est éternelle ou perpétuellement renouvelable. L’Etat ne rembourse jamais vraiment sa dette au plan macro-économique. R. Savage
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Pour Réginald Savage, le débat est ailleurs. Les obstacles à l’abandon des politiques d’austérité sont politiques et institutionnels. Le TSCG (Traité sur la stabilité, la Coordination, et la Gouvernance dit Pacte budgétaire européen) impose une poursuite aveugle de l’austérité budgétaire. C’est cela qu’il faut remettre en cause.
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Le sujet auquel nous nous sommes attaqués est ardu. La lecture de ces articles nous a permis de prendre conscience du débat autour de la dette publique belge.
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Nous avons décidé de poursuivre les discussions sur le sujet de la finance de manière didactique.
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Le 21 avril 2017 (de 13h à 16h), nous jouerons à Ethica, jeu de société où nous prendrons le rôle de famille, de banquier et d’entrepreneur afin d’explorer des notions financières de base et les impacts sociaux et environnementaux des comportements financiers des ménages, des banques et des entreprises.
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Venez-nous rejoindre ! (Lieu : ici à la bibliothèque de Couvin.)